« La fusion avec International Power scelle la réussite de la fusion entre Gaz de France et Suez. Nous devenons la première entreprise énergétique mondiale, parmi les sociétés non pétrolières, et, dans le domaine de la production d'électricité, nous passons de la 8e à la 2e place mondiale. Les deux premiers producteurs mondiaux d'électricité sont français désormais.
(…) GDF Suez ne surpaye pas l’opération. Nous continuerons à investir en France et en Europe mais les plus forts besoins en énergie sont dans les pays où la croissance économique est très forte: en Amérique latine, en Asie et au Moyen-Orient Il n'y aura aucune opération de restructuration en France. Nous faisons ce projet pour nous développer et pour investir », a déclaré Gérard Mestrallet, p-dg de GDF Suez, dans un entretien accordé à l’AFP suite à la fusion avec International Power.
(…) GDF Suez ne surpaye pas l’opération. Nous continuerons à investir en France et en Europe mais les plus forts besoins en énergie sont dans les pays où la croissance économique est très forte: en Amérique latine, en Asie et au Moyen-Orient Il n'y aura aucune opération de restructuration en France. Nous faisons ce projet pour nous développer et pour investir », a déclaré Gérard Mestrallet, p-dg de GDF Suez, dans un entretien accordé à l’AFP suite à la fusion avec International Power.
Le nouveau groupe réalisera un chiffre d'affaires de 84,4 milliards d'euros
Deux ans après avoir fusionné avec Suez, le groupe GDF-Suez rachète International Power (IP) qui détient 50 centrales électriques dans 21 pays. Ce rachat, qui devrait être effectif début 2011, se fera via un apport d'actifs industriels doublé du versement d'un dividende. Avec cette acquisition, le groupe franco-belge pourra accélérer son développement dans les pays émergents, là où la croissance est la plus forte. En effet, en Europe et en Amérique du Nord, la consommation d’énergie stagne.
Le nouveau groupe réalisera un chiffre d'affaires de 84,4 milliards d'euros et sera présent sur tous les continents, sauf l'Afrique. Les deux sociétés espèrent réaliser des économies de coûts de 197 millions d'euros par an. L'Etat français, qui possède 36 % de GDF-Suez, salue cette fusion. Il faut dire que la France est désormais un véritable mastodonte énergique. Le Premier ministre, François Fillon, a déclaré que "l’Etat conservera toute sa place au sein du groupe. Le niveau de sa participation restera inchangé". Pourquoi se priver d’une si belle opération ?
Le nouveau groupe réalisera un chiffre d'affaires de 84,4 milliards d'euros et sera présent sur tous les continents, sauf l'Afrique. Les deux sociétés espèrent réaliser des économies de coûts de 197 millions d'euros par an. L'Etat français, qui possède 36 % de GDF-Suez, salue cette fusion. Il faut dire que la France est désormais un véritable mastodonte énergique. Le Premier ministre, François Fillon, a déclaré que "l’Etat conservera toute sa place au sein du groupe. Le niveau de sa participation restera inchangé". Pourquoi se priver d’une si belle opération ?