"La première étape des investissements d’avenir vient de s'achever. La totalité des 35 milliards d'euros est désormais aux mains des opérateurs publics comme l'Ademe, Oséo, la CDC, avec qui nous avons signé des conventions très précises fixant les règles du jeu et garantissant à chaque candidat une égalité des chances. Charge désormais à eux de lancer les appels à projets. Les 35 milliards ont été décomposés en 35 actions homogènes. Près de 30 appels à projets ont déjà été lancés. Au global, de 15 à 20 milliards d'euros auront été engagés sur des projets précis avant fin 2011.
(…) Quand une entreprise traverse une crise, la bonne stratégie est de réduire les frais généraux et d'augmenter les investissements en recherche et développement pour gagner des parts de marché. C'est exactement ce que l'on applique à l'échelle de la France. Il faut mettre le turbo sur les investissements d'avenir pour gagner en compétitivité" a déclaré René Ricol, commissaire général à l'investissement.
(…) Quand une entreprise traverse une crise, la bonne stratégie est de réduire les frais généraux et d'augmenter les investissements en recherche et développement pour gagner des parts de marché. C'est exactement ce que l'on applique à l'échelle de la France. Il faut mettre le turbo sur les investissements d'avenir pour gagner en compétitivité" a déclaré René Ricol, commissaire général à l'investissement.
Entre 65 et 70 milliards d’euros investis avec l’effet de levier
Il y a tout juste un an. Nicolas Sarkozy annonçait que le grand emprunt donnerait lieu à des investissements d’un montant total de 35 milliards d’euros. L'idée d'un emprunt populaire n'est pas retenue (trop coûteuse), le programme devant être financé auprès des marchés et par les fonds remboursés par les banques. Suivant les recommandations de la commission Rocard-Juppé, cinq axes prioritaires avaient été retenus :
- l'enseignement supérieur et la formation ;
- la recherche ;
- l'industrie et les PME ;
- le développement durable ;
- et le numérique.
Aujourd’hui, les premiers projets commencent à voir le jour. Avec l’effet de levier, le gouvernement espère que l’enveloppe globale atteindra entre 65 et 70 milliards d’euros. Pour tenir ces objectifs, l’Etat va co-investir avec l'Europe, les collectivités territoriales et le privé.
- l'enseignement supérieur et la formation ;
- la recherche ;
- l'industrie et les PME ;
- le développement durable ;
- et le numérique.
Aujourd’hui, les premiers projets commencent à voir le jour. Avec l’effet de levier, le gouvernement espère que l’enveloppe globale atteindra entre 65 et 70 milliards d’euros. Pour tenir ces objectifs, l’Etat va co-investir avec l'Europe, les collectivités territoriales et le privé.