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Après une chute de près de 30 % en moins d’un mois, le prix de l’action est remonté autour de 32 dollars. Son niveau reste néanmoins toujours inférieur de près de 16 % par rapport à son cours d'introduction (38 dollars le 18 mai 2012). Une tendance qui ne semble pas être sur le point de changer à en croire les récents avis des 31 banques d’affaires qui avaient participé à l’affaire et qui était donc jusque-là tenu au silence. Ainsi, sur les 37 avis d'analystes recensés par l'agence Bloomberg, moins de la moitié (18) conseillent d'acheter l'action, six suggèrent de la conserver et trois estiment même qu'il vaut mieux la vendre.
38 dollars… dans un an
Selon Morgan Stanley, le prix de l’action devrait atteindre 38 dollars d’ici un an. Le problème, c’est qu’il s’agissait de sa valeur d’introduction et que c’est cette même banque qui a contribué à en évaluer sa valeur. Cette nouvelle annonce est donc clairement l’aveu d’un échec ou d’une manipulation. En effet, la fourchette initiale du prix de l’action avait été initialement fixée entre 28 et 35 dollars. Ce n’est que quelques heures avant l’opération que son prix avait été revu à la hausse.
La banque britannique Barclays a même calculé un objectif de cours inférieur au prix d'introduction (35 dollars). Parmi les grandes institutions financières, seules Goldman Sachs et JP Morgan on misé sur l’avenir de Facebook, respectivement 42 et 45 dollars. En attendant de voir qui aura raison, le réseau social montre des signes de fatigue inquiétant : les audiences commencent à stagner aux États-Unis et en Europe et la marque peine toujours à gagner de l'argent sur les téléphones mobiles. Autre source d’inquiétude, Zynga, l’éditeur de jeux sociaux aux 227 millions d’utilisateurs, qui a récemment indiqué qu’il souhaitait créer son propre réseau social pour contourner les "droits de péage" imposé par Facebook.
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