Dans le tourbillon effréné des innovations technologiques et lancements de nouveaux produits, les différentes études que nous avons menées ont fait ressortir un point totalement paradoxal : 43% des français seraient prêts à changer d’ordinateur lorsqu’il commence à ralentir bien que 59% repousseraient cet achat faute de budget.
Faire soi-même
Ainsi, pour lutter contre le manque de performance d’un ordinateur et faire quelques économies, les français peuvent se tourner vers le « DIY » (Do it yourself) ou « faire soi-même ». Cette tendance, bien ancrée dans les mœurs en matière de cuisine et de décoration avec un retour au jardinage, à la récupération et à la transformation des objets est encore timide dans le milieu informatique.
Le « DIY » informatique revient, par exemple, à installer soi-même un module de mémoire dans son ordinateur. Cette solution présente plusieurs avantages en terme de gain de performances, d’économie d’argent et de temps. Cela permet de booster sa machine en diminuant les temps de chargement des applications, en obtenant une meilleure réactivité et en développant la capacité de la machine à gérer plusieurs programmes en même temps.
De plus, c’est un investissement qui dépasse rarement une centaine d’euros, selon le modèle nécessaire, donc tout à fait abordable pour prolonger la vie de son ordinateur quelques années. Et ça évite les frais de main d’œuvre demandés lorsqu’on dépose sa machine chez un réparateur informatique. Enfin, plus besoin d’attendre que le réparateur appelle pour aller récupérer son ordinateur, il suffit de rester chez soi et de prendre quelques minutes pour installer son module de mémoire.
Le « DIY » informatique revient, par exemple, à installer soi-même un module de mémoire dans son ordinateur. Cette solution présente plusieurs avantages en terme de gain de performances, d’économie d’argent et de temps. Cela permet de booster sa machine en diminuant les temps de chargement des applications, en obtenant une meilleure réactivité et en développant la capacité de la machine à gérer plusieurs programmes en même temps.
De plus, c’est un investissement qui dépasse rarement une centaine d’euros, selon le modèle nécessaire, donc tout à fait abordable pour prolonger la vie de son ordinateur quelques années. Et ça évite les frais de main d’œuvre demandés lorsqu’on dépose sa machine chez un réparateur informatique. Enfin, plus besoin d’attendre que le réparateur appelle pour aller récupérer son ordinateur, il suffit de rester chez soi et de prendre quelques minutes pour installer son module de mémoire.
High-tech : troisième poste d'économies
Les étapes d’installation sont très simples. Il faut mettre son système hors tension, ouvrir le capot, retirer les anciens modules de mémoire et y insérer les nouveaux à la place puis rallumer son ordinateur ! C’est presque aussi simple que de changer les piles de sa télécommande ! Cette solution répond particulièrement aux besoins des français de faire des économies, la preuve en chiffres.
Notre étude montre qu’en période de crise, l’informatique est le troisième poste de dépense sur lequel les français font des économies (16,4%) après les sorties et loisirs (35%) et les vacances (20%). Les résultats d’une autre étude « Le Sofinscope - Baromètre OpinionWay pour SOFINCO »3 confirment cette tendance, car le budget annuel moyen d’un foyer consacré aux équipements high tech était de 380 € en 2014 contre 507 € en 2013 et 574 € en 2012. Et ce baromètre précise que le principal critère de choix lors de l’achat d’équipements high-tech reste le prix, à 65%.
A propos de l'auteur : Carine Matarin est responsable e-commerce Europe du Sud de Crucial.fr.
Notre étude montre qu’en période de crise, l’informatique est le troisième poste de dépense sur lequel les français font des économies (16,4%) après les sorties et loisirs (35%) et les vacances (20%). Les résultats d’une autre étude « Le Sofinscope - Baromètre OpinionWay pour SOFINCO »3 confirment cette tendance, car le budget annuel moyen d’un foyer consacré aux équipements high tech était de 380 € en 2014 contre 507 € en 2013 et 574 € en 2012. Et ce baromètre précise que le principal critère de choix lors de l’achat d’équipements high-tech reste le prix, à 65%.
A propos de l'auteur : Carine Matarin est responsable e-commerce Europe du Sud de Crucial.fr.