84 % des acheteurs et locataires poursuivent leurs projets immobiliers pendant le second confinement

6 Novembre 2020
Rémi Lepage

Avec le reconfinement, acheteurs et locataires recherchent
plus que jamais des visites virtuelles. Pour faire face à cette demande, PAP propose aux propriétaires de réaliser leur visite virtuelle à prix coûtant, dans l'unique objectif de les aider à poursuivre leurs transactions durant ce second confinement.



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Confinement, acte II. Cette fois-ci, les déménagements, les signatures, les états des lieux sont permis. 84,1 % des acheteurs et des locataires continuent leurs projets. Pour compenser l'interdiction des visites physiques, la visite virtuelle est plébiscitée, par la ministre Emmanuelle Wargon mais aussi par les acheteurs et les locataires. Et ça fonctionne : les vendeurs qui ont opté pour une visite virtuelle ont reçu 76 % de contacts en plus lors du premier confinement. Et les locataires seraient 38,3 % à être prêts à signer leur contrat de location sur la base d'une visite virtuelle, sans visite physique du logement.

Un reconfinement souple pour l'immobilier

Cette fois-ci, presque tout est permis : déménagements, signatures, états des lieux... Les banques et les notaires sont prêts à fonctionner à distance. Bref, les projets immobiliers ne sont pas bloqués, et les acheteurs et les locataires l'ont bien compris.

 

La preuve : 85,1% des acheteurs et 82,3% des locataires continuent leurs recherches * ce 2 et 3 novembre par rapport à la semaine précédent l'annonce du confinement. A titre de comparaison, le 23 et le 24 mars dernier, seuls 47.7% des acheteurs et 41.9% des locataires poursuivaient leurs recherches. 

 

La condition ? Les visites virtuelles. Emmanuelle Wargon, Ministre délégué au Logement, n'a eu de cesse de le rappeler ces derniers jours : les visites physiques sont interdites durant toute la période du reconfinement, que ce soit pour les professionnels ou pour les particuliers. Seules les visites virtuelles sont possibles. Et les acheteurs et les locataires sont demandeurs.


Rémi Lepage