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Bon à savoir avant les entretiens annuels d’évaluation : 88 % des directeurs et managers envisagent d’augmenter au moins un collaborateur de leur entreprise ou service cette année, selon une étude réalisée par Robert Half. Une aubaine pour les salariés, en position de force sur le marché de l’emploi ?
Un cadre sur deux demandera une augmentation
Comme en 2017, près d’un cadre sur deux a l’intention de demander une augmentation en 2018. Mais que prévoient leurs supérieurs ? Chez les 302 DG et managers, et les 200 DSI interrogés par Robert Half, 88 % envisageraient d'accorder une augmentation au cours des prochains mois à au moins l’un de leurs collaborateurs. Pour les salariés qui se verront offrir une augmentation, celle-ci devrait osciller entre 1 % et 15 % pour vraisemblablement s’établir à 1 %, 2 % ou 5 %.
En général, la raison principale qui pousse les DG, managers et DSI à ne pas augmenter leurs collaborateurs est le manque de ressources financières (53 %), mais avec la reprise économique et l’optimisme qui en découle, cela pourrait changer, car de la même manière que les candidats ont repris les commandes du marché du recrutement, les talents au sein des entreprises ont repris la main. Pour ceux dont le salaire est déjà au taux du marché (34 %) ou dont la dernière augmentation est trop récente (16 %), il sera difficile de prétendre à une augmentation.
En général, la raison principale qui pousse les DG, managers et DSI à ne pas augmenter leurs collaborateurs est le manque de ressources financières (53 %), mais avec la reprise économique et l’optimisme qui en découle, cela pourrait changer, car de la même manière que les candidats ont repris les commandes du marché du recrutement, les talents au sein des entreprises ont repris la main. Pour ceux dont le salaire est déjà au taux du marché (34 %) ou dont la dernière augmentation est trop récente (16 %), il sera difficile de prétendre à une augmentation.