1 - Une nécessaire adaptation de l’organisation du travail et la main d’œuvre
2 - Un impact direct sur le chiffre d’affaires et l’activité pour certaines entreprises :
3 - Une perturbation du processus de production et de transformation
Pour limiter l’impact de la crise, les entreprises déclarent mettre en œuvre de bonnes pratiques dont essentiellement : confinement, télétravail, respect scrupuleux des gestes barrières, mesures de distanciation sociale, réduction des entrées sur site, renforcement du dialogue social… Pour Richard Girardot, Président de l’ANIA, ces résultats illustrent très bien l’agilité et la capacité d’adaptation des entreprises de l’alimentation pour préserver tant la sécurité des salariés que la production, dans le dialogue social, en interne ainsi qu’avec leurs fournisseurs et clients : « Je tiens à saluer la mobilisation des chefs d’entreprise et des salariés, leur engagement, leur réactivité dans cette mission noble qui est la leur. Ils se donnent ainsi les moyens de minimiser les impacts de cette crise pour mieux rebondir après. Nous sommes et resterons à leurs côtés ».