Autres articles
-
Les 5 innovations marketing qui vont révolutionner le secteur du retail
-
Marché de l’immobilier en berne : comment réagissent les professionnels du secteur ?
-
Les géants du cloud tiennent les entreprises en otage
-
L’impact de l’IA dans le secteur des Datacenters
-
Quels impacts ont les données du secteur informatique sur le climat ?
Alors que les excellentes prévisions de croissance se confirment pour 2018 et 2019, les entreprises renouent avec la création d’emploi. Ainsi, le processus de recrutement efficace est au centre de ce marché orienté vers la recherche de candidat. Robert Half, cabinet international de recrutement spécialisé, a interrogé 305 directeurs généraux et managers en France à propos des tendances et des processus de recrutement. Le premier cas abordé est celui du mauvais recrutement : quand réalise-t-on que l’on s’est trompé ? Quelles conséquences cela peut-il avoir ?
Des conséquences lourdes
35% des DG et managers ont besoin d’environ 2 semaines pour réaliser qu’une nouvelle recrue ne répond pas aux attentes du poste. Les principales raisons évoquées ? Des compétences inadéquates (42%), des candidats non qualifiés (39%) et la découverte de mensonges sur le CV (37%). En cas de mauvaises décisions de recrutemen t, il convient de réagir au plus vite afin de ne pas laisser les problèmes paralysés un service ou porter atteinte à la productivité de l’entreprise. 43% des DG et managers répondent mettre fin au contrat du salarié et se lancer à nouveau dans un processus de recrutement. 34% prévoit un programme de formation pour le nouveau salarié.
Pour les directeurs généraux et managers, les conséquences d’une embauche ratée sont sérieuses et multiples : pour 50% d’entre eux, c’est le reste de l’équipe qui pâtit d’une augmentation de charge de travail et de davantage de stress (35%). Suivent, pour 31% du panel, la perte de productivité et descoûts de recrutement plus élevés que prévus.
Pour les directeurs généraux et managers, les conséquences d’une embauche ratée sont sérieuses et multiples : pour 50% d’entre eux, c’est le reste de l’équipe qui pâtit d’une augmentation de charge de travail et de davantage de stress (35%). Suivent, pour 31% du panel, la perte de productivité et descoûts de recrutement plus élevés que prévus.