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Selon les notaires, la hausse des prix dans l’ancien en Ile-de-France pourrait atteindre 10 %. Après avoir marqué une pause en 2009, le marché immobilier parisien s’enflamme à nouveau. Le nombre de transactions n’est pas en reste : 41000 logements ont été échangés au premier trimestre 2010. C’est davantage qu'au 1er trimestre 2008 au début de la crise immobilière. Le nombre des ventes, à Paris, a grimpé de 77 % entre le premier trimestre 2009 et le premier trimestre 2010, tandis qu'elles ont bondi de 84 % en première couronne et de 76 % en grande couronne.
A Paris, les biens se vendent aujourd'hui en moins de 15 jours. Les prix ont gagné 3,2 % d'un trimestre à l'autre. Ce n’est donc pas le moment de vendre. Le marché commence à peine à rebondir. Les pertes dues à la crise sont déjà effacées dans la capitale française. Le manque de biens et une demande soutenue explique cette forte reprise. Il vaut mieux attendre la rentrée scolaire ou la fin de l’année.
A Paris, les biens se vendent aujourd'hui en moins de 15 jours. Les prix ont gagné 3,2 % d'un trimestre à l'autre. Ce n’est donc pas le moment de vendre. Le marché commence à peine à rebondir. Les pertes dues à la crise sont déjà effacées dans la capitale française. Le manque de biens et une demande soutenue explique cette forte reprise. Il vaut mieux attendre la rentrée scolaire ou la fin de l’année.
Le neuf souffre de la pénurie de biens
En revanche dans le neuf, les choses sont moins roses. Si les prix se stabilisent, le manque de biens nuit à la croissance du marché. La reprise des ventes dans le neuf, aidée par des mesures financières et fiscales avantageuse, a été telle que les promoteurs ont déjà écoulé la majorité de leur stock. En effet, ils avaient interrompu durant la crise une grande partie de leurs chantiers. Il faudra donc attendre jusqu’à la fin de l’année avant de voir apparaître de nouveaux biens sur le marché. Une situation qui vient aggraver le manque chronique de foncier en Ile-de-France.
Pour le reste de l’Hexagone, le constat est moins rose. Il faudra encore atteindre un ou deux trimestres avant que les prix repartent à la hausse. Paris sera toujours Paris.
Pour le reste de l’Hexagone, le constat est moins rose. Il faudra encore atteindre un ou deux trimestres avant que les prix repartent à la hausse. Paris sera toujours Paris.