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"La France va plus mal que la Grande-Bretagne des années 70 parce que le monde a changé et que les choses changent plus vite que dans les années 1970 et 1980, avec de la technologie, du capital et des talents disponibles partout, ce qui n'était pas alors le cas. Cela fait de l'inaction, du manque de vision et de priorités un défaut bien plus grave qu'auparavant.
Diminuer les dépenses
(…) François Hollande doit choisir s'il veut être Harold Wilson (NDLR : le Premier ministre travailliste de l’époque) ou l’autre chef de gouvernement travailliste Tony Blair, adepte d’une politique de "troisième voie" plus libérale. Jusqu'ici, François Hollande est resté ambigu. J'espère qu'il choisira Blair. Je ne lui demande pas d'être Margaret Thatcher. Comme la Commission européenne l’a observé à bon escient, la France a un besoin urgent de réformes structurelles du marché du travail, de l'éducation et des dépenses publiques. Le problème de la France pour lui n’est pas tant de réduire le déficit que de diminuer les dépenses", a déclaré Henri de Castrie, p-dg de l’assureur français Axa, dans une interview accordée au Sunday Telegraph.
Elle représente 56 % du Produit intérieur bruit soit près de dix points de plus que la moyenne européenne. Cet écart représente 200 millions d’euros. "Chaque année, cet argent est pris aux gens qui savent comment gagner de l’argent, créer des emplois et créer de la croissance. Au contraire des projets publics qui ont un faible retour sur investissement. Ce n’est donc pas une surprise si la compétitivité n’est pas optimale."
Elle représente 56 % du Produit intérieur bruit soit près de dix points de plus que la moyenne européenne. Cet écart représente 200 millions d’euros. "Chaque année, cet argent est pris aux gens qui savent comment gagner de l’argent, créer des emplois et créer de la croissance. Au contraire des projets publics qui ont un faible retour sur investissement. Ce n’est donc pas une surprise si la compétitivité n’est pas optimale."