"Le mandat de la Fed, de même que le mon propre mandat, est de faire croître notre économie. Et ce n'est pas uniquement bon pour les États-Unis, mais également pour le monde entier. Et la pire chose qui pourrait arriver à l'économie mondiale, pas seulement à la nôtre, c'est que nous nous retrouvions sans croissance ou avec une croissance très limitée "a déclaré Barack Obama lors d’un discours réalisé lors de sa visite en Inde.
Le président américain a défendu la politique monétaire de la Fed. Il répond ainsi aux critiques émanant de nombreux pays, Chine en tête. "Pour les États-Unis, émetteurs d'une monnaie de réserve, lancer une deuxième vague d'assouplissement quantitatif en ce moment, cela veut dire à notre avis qu'ils ne se montrent pas à la hauteur de leurs responsabilités concernant la stabilité des marchés mondiaux et ne pensent pas à l'impact des excès de liquidité sur les marchés émergents", a déclaré le vice-ministre des Finances Zhu Guangyao, lors d'un point de presse à Pékin.
Le président américain a défendu la politique monétaire de la Fed. Il répond ainsi aux critiques émanant de nombreux pays, Chine en tête. "Pour les États-Unis, émetteurs d'une monnaie de réserve, lancer une deuxième vague d'assouplissement quantitatif en ce moment, cela veut dire à notre avis qu'ils ne se montrent pas à la hauteur de leurs responsabilités concernant la stabilité des marchés mondiaux et ne pensent pas à l'impact des excès de liquidité sur les marchés émergents", a déclaré le vice-ministre des Finances Zhu Guangyao, lors d'un point de presse à Pékin.
Des négociations qui s'annoncent compliquées
De leur côté, les États-Unis ont de manière répétée reproché à la Chine de ne pas laisser le yuan s'apprécier librement. Autant dire que les négociations du sommet du G20 qui se tient à Séoul ont commencé avant l’heure. L’objectif est de trouver un terrain d'entente entre les vingt principales économies de la planète afin d’éviter une "guerre des monnaies" et le développement du protectionnisme.