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Bpifrance et Katalyse, cabinet conseil en stratégie d’entreprise, réalisent pour la sixième année consécutive leur baromètre PME+ sur les PME de croissance en France. L’édition 2017 conforte la tendance des dernières années marquée par une stabilité du nombre de PME en croissance. Cette tendance, alliée à une progression moyenne du chiffre d’affaires des PME autour de 10 % sur ces 5 dernières années, reflète d’excellents indicateurs pour l’économie française. Au 1er janvier 2017, notre pays comptait 67 566 PME de croissance, dont 28% affichant une croissance annuelle de leur chiffre d’affaires supérieure à 40 %.
Qu’est-ce qu’une PME de croissance ?
D’après la définition élaborée conjointement par Bpifrance et Katalyse (voir tableau ci-dessous), sont considérées comme « PME de croissance » dans le baromètre PME+, les entreprises ayant connu sur les dernières années (entre 2 et 5 ans) une croissance rapide de leurs effectifs ou de leur CA (au moins 10% par an) hors filiales de groupes dont la maison-mère affiche un CA ≥ 200 M€. Cette définition permet notamment de retenir :
Les PME connaissant une forte croissance de leur CA sans que cela se traduise en termes d'effectifs car elles sous-traitent une grande partie de leur production. Les PME connaissant une forte croissance de leurs effectifs sans que cela se traduise pour le moment en termes de CA. C'est notamment le cas de certaines start-ups, en particulier dans la santé et les biotechs.
Le baromètre PME+ dévoile une vision positive de l’économie française selon 4 dimensions :
1. Un nombre élevé de PME de croissance : au 1er janvier 2017, les PME de croissance sont au nombre de 67 566. Ceci s’explique par deux facteurs :
· Les PME retenues pour figurer dans le « club » PME + sont en croissance sur au moins l’un des deux critères, soit le chiffre d’affaires, soit les effectifs
· La disparition d’entreprises, quel que soit le secteur, permet aux entreprises existantes de croître. La fusion entre plusieurs sociétés ou « build up », cher au capital développement, constitue un cas particulier de ce phénomène.
2. Une répartition régionale harmonieuse : contrairement aux idées reçues, l’Ile-de-France ne concentre pas la majorité des PME en croissance. Bien au contraire, le baromètre souligne l’essor de toutes les régions avec par exemple 7,6% des PME de croissance en Nouvelle Aquitaine, ou encore 8,5% en Occitanie.
3. Des PME moteurs pour la croissance : 28% de ces entreprises enregistrent une croissance annuelle supérieure à 40%, dont un grand nombre de startups, compte tenu du seuil minimum de l’effectif retenu.
4. Une répartition sectorielle équilibrée : les PME de croissance sont présentes dans tous les secteurs : les secteurs traditionnels (26% en commerce, 16% dans la construction, 12% dans l’industrie) et les secteurs des services (18% autres services, 11% services spécialisés scientifiques et techniques, 5% information et communication).
« Les PME de croissance sont les sportives de haut niveau, des compétitrices de notre économie. Elles prennent des risques, innovent, ouvrent leur capital et partent à la conquête de l’international. Ce sont des modèles et des sources d’inspiration, mais elles sont encore trop peu nombreuses à l’échelle nationale. Bpifrance agit aux côtés des entreprises pour soutenir les aspirations et les projets de ces PME, et pour élever leur seuil d’ambition. Chaque PME qui ne figure pas dans le Club PME+ est un champion qui s’ignore. », indique Fanny Letier, Directrice Exécutive Fonds propres PME & Coordination Accompagnement chez Bpifrance.
Les PME connaissant une forte croissance de leur CA sans que cela se traduise en termes d'effectifs car elles sous-traitent une grande partie de leur production. Les PME connaissant une forte croissance de leurs effectifs sans que cela se traduise pour le moment en termes de CA. C'est notamment le cas de certaines start-ups, en particulier dans la santé et les biotechs.
Le baromètre PME+ dévoile une vision positive de l’économie française selon 4 dimensions :
1. Un nombre élevé de PME de croissance : au 1er janvier 2017, les PME de croissance sont au nombre de 67 566. Ceci s’explique par deux facteurs :
· Les PME retenues pour figurer dans le « club » PME + sont en croissance sur au moins l’un des deux critères, soit le chiffre d’affaires, soit les effectifs
· La disparition d’entreprises, quel que soit le secteur, permet aux entreprises existantes de croître. La fusion entre plusieurs sociétés ou « build up », cher au capital développement, constitue un cas particulier de ce phénomène.
2. Une répartition régionale harmonieuse : contrairement aux idées reçues, l’Ile-de-France ne concentre pas la majorité des PME en croissance. Bien au contraire, le baromètre souligne l’essor de toutes les régions avec par exemple 7,6% des PME de croissance en Nouvelle Aquitaine, ou encore 8,5% en Occitanie.
3. Des PME moteurs pour la croissance : 28% de ces entreprises enregistrent une croissance annuelle supérieure à 40%, dont un grand nombre de startups, compte tenu du seuil minimum de l’effectif retenu.
4. Une répartition sectorielle équilibrée : les PME de croissance sont présentes dans tous les secteurs : les secteurs traditionnels (26% en commerce, 16% dans la construction, 12% dans l’industrie) et les secteurs des services (18% autres services, 11% services spécialisés scientifiques et techniques, 5% information et communication).
« Les PME de croissance sont les sportives de haut niveau, des compétitrices de notre économie. Elles prennent des risques, innovent, ouvrent leur capital et partent à la conquête de l’international. Ce sont des modèles et des sources d’inspiration, mais elles sont encore trop peu nombreuses à l’échelle nationale. Bpifrance agit aux côtés des entreprises pour soutenir les aspirations et les projets de ces PME, et pour élever leur seuil d’ambition. Chaque PME qui ne figure pas dans le Club PME+ est un champion qui s’ignore. », indique Fanny Letier, Directrice Exécutive Fonds propres PME & Coordination Accompagnement chez Bpifrance.