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En France, l’année 2015 a été marquée par une croissance du PIB plus élevée qu’en 2014 (+1,9% en valeur, après +1,2%), accompagnée d’une inflation nulle et d’une hausse du nombre de chômeurs indemnisés.
701 milliards d’euros en 2015
Dans ce contexte économique dégradé, les dépenses de protection sociale progresseraient de 1,4 %, soit un rythme moindre que le PIB, tandis que l’évolution des ressources s’en approcherait (+2,0 %). De ce fait, selon ces premières données provisoires, le déficit de la protection sociale se résorberait de moitié en 2015 par rapport à 2014, avec 3,9 milliards d’euros, contre 7,9 milliards, selon la DREES.
Le montant servi au titre des prestations de protection sociale, qui englobe 94 % du total des dépenses, s’élèverait à 701 milliards d’euros en 2015. Il augmenterait ainsi de 1,6 %, après +2,2 % en 2014. Seule la dynamique des prestations du risque emploi serait plus soutenue en 2015 qu’en 2014. Le rythme de croissance des dépenses du risque vieillesse-survie serait plus faible, sous l’effet d’une inflation atone et de départs à la retraite moins nombreux. Les ressources de la protection sociale s’établiraient à 743,0 milliards d’euros en 2015. Elles progresseraient à un rythme plus faible qu’en 2014.
Le montant servi au titre des prestations de protection sociale, qui englobe 94 % du total des dépenses, s’élèverait à 701 milliards d’euros en 2015. Il augmenterait ainsi de 1,6 %, après +2,2 % en 2014. Seule la dynamique des prestations du risque emploi serait plus soutenue en 2015 qu’en 2014. Le rythme de croissance des dépenses du risque vieillesse-survie serait plus faible, sous l’effet d’une inflation atone et de départs à la retraite moins nombreux. Les ressources de la protection sociale s’établiraient à 743,0 milliards d’euros en 2015. Elles progresseraient à un rythme plus faible qu’en 2014.