Leçon #1 : Évaluez bien les avantages et risques du mode de collecte
Ce mode désigne une expression directe du consentement - typiquement un clic sur un bouton « accepter ».
Le consentement soft
Ici, le consentement est enregistré quand l'utilisateur explore plus en profondeur le site, autrement dit dès qu'il visualise une deuxième page.
Le consentement super soft
Le consentement est collecté dès lors que l'utilisateur fait défiler la page sur laquelle il est arrivé. Ce mode de collecte correspond à une lecture possible du RGPD et est acceptée par les autorités de régulations en attendant les éclaircissements de la directive eprivacy.
Sans surprise, le taux de conversion du consentement strict est plus bas (28%) que celui des deux autres procédés : 69% pour le consentement « soft » et 78% pour la version « super soft ». Toutefois, la différence - finalement relative - entre ces deux derniers peut questionner l'intérêt de recourir au « super soft » et de s'inscrire dans une lecture « tolérée » du règlement. D'autant que le consentement « soft » se solde par 39% de consentements directs (part des visiteurs qui cliquent sur un bouton « accepter » dans ce contexte) versus seulement 10% pour le « super soft ».
Leçon #2 : Soignez la première impression - la seule qui compte
Leçon #3 : Pour la bannière de consentement, pensez... grand
Leçon #4 : Ne cachez pas votre contenu
Leçon #5 : Restez à l'écoute des pratiques de vos visiteurs et de votre univers métier
A propos de l'auteur : Michaël Froment est P-DG de Commanders Act.