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Il y a deux ans Nicolas Sarkozy jouait les équilibristes. D’un côté, il prônait la rigueur et de l’autre il lançait des mesures de relance. Aujourd’hui, les marchés financiers ont tranché. Ce sera la rigueur et l’austérité. A tel point que le Président relançait fin février son projet d’inscrire dans la Constitution la maîtrise des déficits budgétaires. L’objectif étant de réduire le déficit à 2 % du Produit intérieur brut d’ici 2014.