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Note : 4/5 Vivement conseillé
Chahut perpétuel dans les classes, manque de respect des élèves envers les professeurs, absentéisme fréquent... Voilà le quotidien des écoles dans les quartiers difficiles. Sébastien Clerc, enseignant de français et d’histoire depuis huit ans, est l’un de ces professeurs qui subissent au jour le jour cet environnement oppressant. Pendant six ans, il a pris des notes de ces moments difficiles pour tenter de mieux les comprendre. De là, est venue une réflexion plus profonde sur le monde de l’enseignement.
De son expérience, il en a tiré un livre poignant et attachant. Malgré un environnement toujours difficile, la passion reste intacte. Cette école, même s’il en trace un portrait dur, il l’aime. Il continue à croire en elle. Pour lui, il n’est pas trop tard. On peut encore la sauver. Pour cela, il propose des pistes de réflexion : un nouveau mode de recrutement, une formation plus concrète des enseignant et une meilleure gestion et organisation au sein des établissements. Espérons que cet SOS finisse par être entendu par les autorités compétentes pour qu’elles agissent en conséquence.
Pour lire l’interview exclusive de Sébastien Clerc, cliquez-ici
Chahut perpétuel dans les classes, manque de respect des élèves envers les professeurs, absentéisme fréquent... Voilà le quotidien des écoles dans les quartiers difficiles. Sébastien Clerc, enseignant de français et d’histoire depuis huit ans, est l’un de ces professeurs qui subissent au jour le jour cet environnement oppressant. Pendant six ans, il a pris des notes de ces moments difficiles pour tenter de mieux les comprendre. De là, est venue une réflexion plus profonde sur le monde de l’enseignement.
De son expérience, il en a tiré un livre poignant et attachant. Malgré un environnement toujours difficile, la passion reste intacte. Cette école, même s’il en trace un portrait dur, il l’aime. Il continue à croire en elle. Pour lui, il n’est pas trop tard. On peut encore la sauver. Pour cela, il propose des pistes de réflexion : un nouveau mode de recrutement, une formation plus concrète des enseignant et une meilleure gestion et organisation au sein des établissements. Espérons que cet SOS finisse par être entendu par les autorités compétentes pour qu’elles agissent en conséquence.
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