Autres articles
-
70 % des employés prêts à accepter une réduction de salaire pour travailler de n'importe où
-
81 % des entreprises augmentent leur budget IA
-
En hausse de 9,2%, l’absentéisme des salariés français du secteur privé poursuit sa dégradation
-
44 % des entrepreneurs renoncent aux congés d’été
-
90 % des Français se disent inquiets face à l'inflation
Selon les derniers chiffres de la Banque de France, un prêt à l'habitat sur deux est un crédit renégocié (mai 2015).La part des renégociations s’élève à 46 % contre 27 % en décembre 2014.
Une très légère hausse des taux
Alors que le mois de juin a été marqué par de très légères hausses de taux des barèmes bancaires, les taux moyens restaient assez bas et s’affichent à 2,05% sur 15 ans, 2,25% sur 20 ans (quasi-stable) et 2,58% (en très légère baisse) sur 25 ans. « Même si la tendance baissière des taux connait un ralentissement, les taux de crédit immobilier restent très bas et les emprunteurs sont de plus en plus nombreux à avoir recours à la renégociation de crédit. Cet afflux a été particulièrement constaté en début d’année. » remarque Maël Bernier, directrice de la communication de Meilleurtaux.com
« Cependant ce phénomène va s’atténuer car les banques sont aujourd'hui surchargées de demandes de nouveaux crédits auxquelles elles ont du mal à répondre. Alors que de nombreux ménages ont eu recours à la renégociation, il est encore temps pour les retardataires de mettre en concurrence leur banque pour renégocier leur taux. » poursuit Maël Bernier.
« Cependant ce phénomène va s’atténuer car les banques sont aujourd'hui surchargées de demandes de nouveaux crédits auxquelles elles ont du mal à répondre. Alors que de nombreux ménages ont eu recours à la renégociation, il est encore temps pour les retardataires de mettre en concurrence leur banque pour renégocier leur taux. » poursuit Maël Bernier.
