Alors que 2 279 569 véhicules ont changé de main depuis le 1er janvier 2022,* de nombreux particuliers restent victimes chaque année d’arnaques, de litiges ou d’une mauvaise expérience d’achat. Un phénomène qui entraîne des pertes d’argent ou des dépenses supplémentaires pour l’acquéreur. Acheter un véhicule d’occasion est donc un moment important mais aussi un acte qui n’est pas sans risque.
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L’étude Odopass nous apprend tout d’abord qu’un peu plus d’un tiers, soit 37,5% des Français acquéreurs de véhicules de seconde main ont déjà été confrontés à un problème. Même s’ils ont pensé avoir pris toutes les précautions, pour ceux-ci la transaction s’est donc avérée être une mauvaise affaire. Dans le détail des mésaventures rencontrées lors de l’achat d’un véhicule d’occasion, 13,4% ont déclaré avoir été victime, malgré le contrôle technique favorable, d’un vice caché, c’est-à-dire un défaut présent mais invisible et donc indécelable au moment de la transaction, et susceptible de rendre inutilisable le véhicule.
5,1% ont déclaré avoir été victime d’un trucage de compteur kilométrique, une pratique malheureusement facile à effectuer et peu coûteuse de la part de propriétaires peu scrupuleux pour augmenter le prix de revente de leur voiture.
En troisième position, on retrouve le défaut d’entretien pour 4,7 % des sondés. On ne le rappellera jamais assez mais la vérification des factures d'entretien et du carnet d'entretien complété est essentielle pour s’assurer que les révisions ont été réalisées comme il faut et garantir la longévité et la fiabilité de la voiture.
Parmi les autres problèmes rencontrés sur le marché des véhicules d’occasion entre particuliers, 3,7 % des sondés ont été confrontés à un contrôle technique douteux ou contrôle technique de complaisance, une fraude qui consiste à omettre volontairement de mentionner certains défauts sur le véhicule ; tandis que 2,3% ont eu à effectuer des réparations imprévues, autrement dit de nouvelles dépenses qui ont donc fini par gonfler la note. Enfin, 13,4% ont déclaré avoir rencontré un autre type de problèmes.
Faible connaissance mécanique
« Notre sondage est révélateur de l’opacité et des risques qui existent encore trop souvent sur le marché de l’occasion entre particuliers. La vigilance est donc de mise pour se mettre à l’abri d’une mauvaise surprise tels qu’un vice caché, un contrôle technique de complaisance, un compteur kilométrique réduit… C’est d’ailleurs pour restaurer de la confiance, de la transparence et de la sécurité dans le processus d’achat et de vente entre particuliers que notre application Odopass a vu le jour. Aujourd’hui, nous avons séduit plus de 160 000 utilisateurs en moins de deux ans dont une part significative a vécu une mauvaise expérience avant de nous rejoindre, preuve de la valeur ajoutée de notre service », explique, Ghislain Trabichet, cofondateur d’Odopass