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Crise oblige, les entreprises françaises ont connu une année 2009 particulièrement difficile. Pas moins de 64 600 société ont été contraintes de mettre la clé sous la porte, soit une hausse de 12 % par rapport à 2008. Le tissu des Très petites entreprises (TPE) a été le plus touché. Les sociétés de moins de 5 salariés représentaient 89 % des défaillances. Les PME ont également beaucoup souffert. Leur nombre de défaillance a bondit de près de 50 % par rapport à 2008.
Les chiffres sont encore plus inquiétants lorsqu’on les regarde sur longue période. Sur dix ans, le nombre de défaillances augmente de 5 % par an en moyenne. Cette tendance traduit les difficultés des TPE à dépasser les cinq ans d’existence. L’explosion des créations d’entreprises, dopées par le statut des auto-entrepreneurs, est donc à nuancer. En effet, un tiers des TPE ne dépassent pas les trois d’existences. Triste chiffre pour l’économie française.
En 2009, les trois plus grosses défaillances françaises sont :
1- L’industriel Pôle Keyria (427 millions de chiffre d’affaires),
2- Le groupe Rodriguez-Boat Service, un constructeur de yachts de luxe (410 millions de chiffre d’affaires)
3- Nortel Networks, un fabricant d’équipements de télécommunications (369 millions de chiffre d’affaires).
En 2009, les trois plus grosses défaillances françaises sont :
1- L’industriel Pôle Keyria (427 millions de chiffre d’affaires),
2- Le groupe Rodriguez-Boat Service, un constructeur de yachts de luxe (410 millions de chiffre d’affaires)
3- Nortel Networks, un fabricant d’équipements de télécommunications (369 millions de chiffre d’affaires).