Le moins que l’on puisse dire c’est que le système français de rémunération est totalement aberrant, non motivant et surtout, dégradant ! D’abord, on sur-évalue et l’on ‘sur-paie’ les ‘hauts salaires’, pour ensuite, leur en reprendre la moitié..... sous forme d’impôts (- 50 %) ! A l’inverse, en bas de l’échelle, on sous-évalue et l’on ‘sous-paie les ‘bas salaires’ pour leur redonner ensuite, des petits compléments de revenus, sous forme de re-distributions, dites sociales ! C’est ainsi que l’on fabrique des « Assistés sociaux» à vie ! De plus, rien de plus idiot que d’aller ‘pomper’ de l’argent sur les salariés du haut, sur-payés, pour aller le ‘re-distribuer’ aux salariés du bas, sous-payés ! Comme quoi, les ‘Shadocks’ ont fait école !
Jeux de société mal distribué
Aujourd’hui en France, la "redistribution sociale", tant louée par les uns et tant décriée par les autres, est la carte maîtresse de notre système socio-économique. Mais si dans les ‘jeux de société’ on doit re-distribuer, lorsque par erreur, l’on a mal distribué au départ, il faut bien comprendre que la Société, la vraie, celle où nous vivons, n’est pas un jeu !
Dans la vie sociétale, il serait quand même plus logique et plus intelligent, de distribuer, plus équitablement avant,.....afin de ne pas être obligé de re-distribuer, après. Comment ne pas comprendre que créer, de façon délibérée, des ‘Salariés pauvres’, est totalement absurde et n’a aucun sens...... ni sur le plan économique, ni sur le plan humain.
Dans la vie sociétale, il serait quand même plus logique et plus intelligent, de distribuer, plus équitablement avant,.....afin de ne pas être obligé de re-distribuer, après. Comment ne pas comprendre que créer, de façon délibérée, des ‘Salariés pauvres’, est totalement absurde et n’a aucun sens...... ni sur le plan économique, ni sur le plan humain.
La désastreuse et onéreuse redistribution
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Qu’on le veuille ou non, une redistribution est toujours un signe d’erreur, de maldonne et, dans le cas présent d’autant plus grave, qu’il s’agit d’un mécompte de rétribution. Lorsque l’on sait, que la rémunération fait partie intégrante de la personnalité d’un salarié, on peut imaginer la fierté et la motivation des ‘travailleurs du bas’ d’être enfin rémunérés à leurs justes valeurs !
Alors que, donner après coup, un complément de revenu, sous la forme d’une ‘Redistribution sociale’ qui est toujours considérée comme un don gratuit, ne peut avoir que des conséquences désastreuses sur le plan humain ! C’est ainsi que l’on saccage l’honneur et la dignité des travailleurs et, qu’ensuite on les traite, avec arrogance et aussi mépris, d’Assistés sociaux.
D’autre part, la redistribution sociale faites par l’Etat, est beaucoup trop onéreuse. On soupçonne qu’une part trop importante des impôts prélevés à cet effet, se perd dans les méandres insondables et budgétivores des structures fonctionnarisées.
Alors que, donner après coup, un complément de revenu, sous la forme d’une ‘Redistribution sociale’ qui est toujours considérée comme un don gratuit, ne peut avoir que des conséquences désastreuses sur le plan humain ! C’est ainsi que l’on saccage l’honneur et la dignité des travailleurs et, qu’ensuite on les traite, avec arrogance et aussi mépris, d’Assistés sociaux.
D’autre part, la redistribution sociale faites par l’Etat, est beaucoup trop onéreuse. On soupçonne qu’une part trop importante des impôts prélevés à cet effet, se perd dans les méandres insondables et budgétivores des structures fonctionnarisées.
Une refondation salariale et fiscale
Le principe de base de la réforme proposée, est de réduire les ‘hautes rémunérations’ d’un pourcentage à définir, pour pouvoir... augmenter les ‘bas salaires’ ! Et, bien évidemment, sans que cela ne coûte un sou de plus,... ni aux salariés et... ni aux entreprises.
Prenons un exemple dans le système actuel : un contribuable à haut salaire, dont le revenu de base, perçu et déclaré, est, de 8 000 euros et dont le taux d’imposition est de 50 %. Il paiera donc 4 000 euros d’impôt. Le Revenu disponible réel net, après impôt, sera de 4 000 Euros.
Avec un partage des rémunérations équitables (PER), on pourrait avoir ce même revenu avec une répartition plus intelligente. Voici le principe d’application du système P.E.R. Supposons, par hypothèse, que les « hauts salaires » aient été réduits de 30 %, pour permettre d’augmenter les « bas salaires ». L’Etat aura donc moins de redistributions à faire. Il peut donc baisser dont taux d’imposition de 50 à 29 %. On obtient les calculs suivants :
Revenu de base, perçu et déclaré (8 000 – 30 %) : 5 600 euros
Montant de l’impôt (5 600 x 29 %) : 1 600 euros
Le Revenu réel net, après impôt est donc de 4 000 euros. C'est-à-dire, exactement le même revenu ‘disponible’ qu’auparavant. Ce qui confirme bien, que sans aucun coût supplémentaire, on peut accroître très sensiblement les ‘bas salaires’.
Prenons un exemple dans le système actuel : un contribuable à haut salaire, dont le revenu de base, perçu et déclaré, est, de 8 000 euros et dont le taux d’imposition est de 50 %. Il paiera donc 4 000 euros d’impôt. Le Revenu disponible réel net, après impôt, sera de 4 000 Euros.
Avec un partage des rémunérations équitables (PER), on pourrait avoir ce même revenu avec une répartition plus intelligente. Voici le principe d’application du système P.E.R. Supposons, par hypothèse, que les « hauts salaires » aient été réduits de 30 %, pour permettre d’augmenter les « bas salaires ». L’Etat aura donc moins de redistributions à faire. Il peut donc baisser dont taux d’imposition de 50 à 29 %. On obtient les calculs suivants :
Revenu de base, perçu et déclaré (8 000 – 30 %) : 5 600 euros
Montant de l’impôt (5 600 x 29 %) : 1 600 euros
Le Revenu réel net, après impôt est donc de 4 000 euros. C'est-à-dire, exactement le même revenu ‘disponible’ qu’auparavant. Ce qui confirme bien, que sans aucun coût supplémentaire, on peut accroître très sensiblement les ‘bas salaires’.