La lutte contre la fraude est ainsi devenue un enjeu majeur pour les établissements bancaires, qui doivent se donner les moyens de s’en prémunir pour chaque prestation et à toutes les étapes de la relation client. Aucun processus métier n’est épargné, du segment « particuliers » à l’offre « professionnels », de l’onboarding crédit aux opérations du quotidien, voire même aux successions ! Pour lutter contre la fraude, les banques peuvent bien sûr s’appuyer sur les dispositifs de conformité réglementaire liés au respect du KYC (« Know Your Customer ») et de LCB-FT (lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme). Le défi pour les établissements bancaires ? Parvenir à contrecarrer la fraude sans dégrader l’expérience client. Un équilibre qui peut être trouvé par les acteurs bancaires en externalisant leurs contrôles auprès de tiers de confiance spécialistes du secteur.
Déjouer la fraude documentaire
Lutter contre la fraude à l’identité et à l’authentification
Freiner la fraude au paiement
-
Les Français et l'argent
-
À l’hôpital, un recours faible à l’intérim mais en nette hausse depuis six ans
-
Démographie des professionnels de santé au 1er janvier 2023
-
Moins chaud, moins cher, moins loin : les Français prennent en compte les contraintes climatiques et budgétaires pour choisir leurs destinations
-
L'indépendance énergétique de la France est-elle possible ?
La fraude au paiement, ou l’utilisation illégitime d’un moyen de paiement ou de ses données, doit également faire l’objet d’une vigilance particulière pour les établissements financiers. Il faut absolument redoubler de vigilance face à la variété́ des fraudes au paiement, mesurer leur impact du point de vue des établissements bancaires et déployer des dispositifs leur permettant de sécuriser ce sujet sensible.
Risques et sanctions : face au double enjeu de la LCB-FT
A propos de l'auteur : François Quais est Directeur marché Banque chez Tessi.