Pour cette troisième édition des prix EDF Pulse, EDF a récompensé trois start-up avec des projets porteurs de progrès et d’économies. Ainsi, dans la catégorie Habitat connecté c’est Ecoisme qui a gagné, une solution permettant de réaliser des économies en évitant que les appareils en veille ou inutilement allumés ne consomment de l’énergie. Dans la catégorie, E-santé c’est Biomex. Grâce à l’impression 3D, cette entreprise permet aux jeunes médecins de simuler des opérations. Enfin, dans la catégorie Ville bas carbone, c’est la start-up Kawantech qui a été distinguée. Cette dernière propose Kara, un système d’éclairage public qui permet de détecter une présence à 35 mètres.
1,5 M€ en 2016
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Mais la technologie ne s’arrête pas là. Elle est capable de déterminer sa masse et sa trajectoire, et de moduler l’éclairage en fonction. En effet, les piétons, les cyclistes ou les voitures n’ont pas besoin du même éclairage. En modifiant l’éclairage en fonction des besoins, ce système permet d’économiser jusqu’à 70 % d’énergie. Une bonne nouvelle pour les finances des collectivités locales.
Autre avantage de taille, ce système peut se loger directement dans les lampadaires déjà installés. Après des essais concluants à Toulouse en 2015, la start-up cherche à gagner en visibilité. Grâce à ce prix, la société a gagné la somme de 100 000 euros et le soutien d’EDF dans le développement et le lancement de leur projet. Mais Kara voit encore plus grand puisqu’elle ambitionne de récolter 1,5 millions en 2016 après avoir recueilli 200 000 euros en 2012, 350 000 en 2014 et 550 000 en 2015. Grâce à cet argent, la société compte commencer à commercialiser à plus grande échelle sa solution. C’est tout le mal qu’on lui souhaite.
Autre avantage de taille, ce système peut se loger directement dans les lampadaires déjà installés. Après des essais concluants à Toulouse en 2015, la start-up cherche à gagner en visibilité. Grâce à ce prix, la société a gagné la somme de 100 000 euros et le soutien d’EDF dans le développement et le lancement de leur projet. Mais Kara voit encore plus grand puisqu’elle ambitionne de récolter 1,5 millions en 2016 après avoir recueilli 200 000 euros en 2012, 350 000 en 2014 et 550 000 en 2015. Grâce à cet argent, la société compte commencer à commercialiser à plus grande échelle sa solution. C’est tout le mal qu’on lui souhaite.