Autres articles
-
Les 5 innovations marketing qui vont révolutionner le secteur du retail
-
Marché de l’immobilier en berne : comment réagissent les professionnels du secteur ?
-
Les géants du cloud tiennent les entreprises en otage
-
L’impact de l’IA dans le secteur des Datacenters
-
Quels impacts ont les données du secteur informatique sur le climat ?
Fleur Pellerin, ministre des PME et de l'Économie numérique, a manié la bâton dans [une interview pour Le Parisien]url:http://www.leparisien.fr/flash-actualite-high-tech/guerre-des-prix-sur-la-4g-fleur-pellerin-promet-de-remettre-de-l-ordre-22-12-2013-3431709.php . Les obligations de couverture devront être respectés, sinon « des sanctions dissuasives seront prises » menace t-elle avec l'assentiment du gouvernement.
Une première mesure pour calmer le jeu
Un premier coup de bâton sera donné au début de l'année prochaine, par le biais d'un arrêté pour réguler les publicités pour les mobiles. « Il imposera aux opérateurs de communiquer non plus sur des débits maximums théoriques mais sur des fourchettes de débit effectif », explique Fleur Pellerin. Les publicités se feront donc plus précises sur la qualité effective des réseaux et non pas uniquement sur les promesses d'un débit dont très peu de clients profitent.
La ministre déplore également la « cour de récré » qu'est devenue le paysage de la téléphonie en France, avec des patrons qui n'hésitent plus à s'envoyer des mots d'oiseaux dans la tête. De son côté, Arnaud Montebourg s'est alarmé de la possibilité d'un « mort » dans le secteur de la téléphonie suite à la course aux bas prix enclenchée par Free.
Une première mesure pour calmer le jeu
Un premier coup de bâton sera donné au début de l'année prochaine, par le biais d'un arrêté pour réguler les publicités pour les mobiles. « Il imposera aux opérateurs de communiquer non plus sur des débits maximums théoriques mais sur des fourchettes de débit effectif », explique Fleur Pellerin. Les publicités se feront donc plus précises sur la qualité effective des réseaux et non pas uniquement sur les promesses d'un débit dont très peu de clients profitent.
La ministre déplore également la « cour de récré » qu'est devenue le paysage de la téléphonie en France, avec des patrons qui n'hésitent plus à s'envoyer des mots d'oiseaux dans la tête. De son côté, Arnaud Montebourg s'est alarmé de la possibilité d'un « mort » dans le secteur de la téléphonie suite à la course aux bas prix enclenchée par Free.