Selon une étude du cabinet Deloitte, les consommateurs français vont réduire leur budget de dépenses de Noël de - 4,4 %. Ils sacrifieront surtout le poste de dépenses en cadeaux (- 4,9 %), en veillant à réduire le moins possible les repas de fêtes (-2,2%). Avec 605 euros (repas + cadeaux compris), leur budget se situe néanmoins légèrement au-dessus de la moyenne européenne. Deux ans plus tard, la folie de magie ne semble toujours pas revenue.
Article publié pour la première fois le 09/01/2008
Noël n'a pas réussi à remonter le moral des Français mais il aura néanmoins permis de stabiliser la consommation grâce notamment à des promotions records. Ainsi, certains hypermarchés ont proposé des réductions allant jusqu’à 20 % sur certains jouets en plus des coupons de réduction traditionnels.
Même des secteurs jusque là éloignés de ce système de vente s’y mettent. Par exemple, pour écouler les vingt-six appartements d'un lotissement de 500 logements terminés, situés à Pfastaff (Haut-Rhin), Bouygues Immobilier Est a offert une voiture Mercedes Classe A et le remboursement des frais de notaire. Dans la presse régionale, le message était clair : « Une voiture offerte pour l'achat d'un appartement : c'est déjà Noël ».
Même des secteurs jusque là éloignés de ce système de vente s’y mettent. Par exemple, pour écouler les vingt-six appartements d'un lotissement de 500 logements terminés, situés à Pfastaff (Haut-Rhin), Bouygues Immobilier Est a offert une voiture Mercedes Classe A et le remboursement des frais de notaire. Dans la presse régionale, le message était clair : « Une voiture offerte pour l'achat d'un appartement : c'est déjà Noël ».
Le Père Noël aime les promotions
Mais ces promotions n’ont pas suffi à relancer la consommation de tous les secteurs. Le plus en deuil est celui des téléphones mobiles. Selon le cabinet d'études GFK, les ventes se sont effondrées de près de 20 % par rapport à l'an dernier.
Seules rescapées, les transactions sur Internet qui ont augmenté de 26 % en décembre 2008 par rapport à l’an dernier. Pour les analystes, cela traduit une nouvelle manière de consommer. Mais, crise oblige, le panier moyen est resté stable à 86 euros. Au total, ce sont près de 22 millions de Français qui ont dépensé 20,3 milliards sur les sites Internet Français en 2008.
Maintenant dès que le Père Noël sera parti, les soldes d’hiver viennent reprendre le relais pour inciter à la consommation. Cette année, elles commencent très fort avec des remises allant jusqu’à 50 % voir 70 % dès le premier jour.
Seules rescapées, les transactions sur Internet qui ont augmenté de 26 % en décembre 2008 par rapport à l’an dernier. Pour les analystes, cela traduit une nouvelle manière de consommer. Mais, crise oblige, le panier moyen est resté stable à 86 euros. Au total, ce sont près de 22 millions de Français qui ont dépensé 20,3 milliards sur les sites Internet Français en 2008.
Maintenant dès que le Père Noël sera parti, les soldes d’hiver viennent reprendre le relais pour inciter à la consommation. Cette année, elles commencent très fort avec des remises allant jusqu’à 50 % voir 70 % dès le premier jour.
