En septembre 2010, il y avait eu aux États-Unis par moins de 347 000 saisies, un chiffre proche du record observé fin 2008. Économie et société avait soulevé le rôle des banques dans ce scénario catastrophe. En effet, ces dernières étaient alors soupçonnées de graves manquements à leurs obligations lors de l’émission des papiers justifiant la saisie des biens immobiliers. À l’époque, le préjudice était estimé entre six et trente milliards de dollars.
26 milliards de dollars
Deux ans plus tard, cinq grandes banques vont verser 26 milliards pour se faire pardonner d'avoir saisi abusivement des propriétés. Près de deux millions de foyers vont bénéficier de cette somme. L'accord négocié avec les autorités de presque tous les États américains est salué par Barack Obama. Néanmoins, son impact sur le marché immobilier américain est bien faible.
Le saisies immobilières continuent. Et généralement les biens vendus sont proposés à un prix nettement inférieur à leurs valeurs initiales. Un véritable cauchemar pour des milliers de familles américaines. L'horizon s'annonce toujours bien sombre : les experts annoncent une deuxième vague de saisies en 2012. Parmi les 10 villes les plus touchées par les saisies immobilières, 9 sont situées en Californie. Arte propose un reportage très intéressant sur une famille menacée d’expulsion : à voir en cliquant ICI.
Le saisies immobilières continuent. Et généralement les biens vendus sont proposés à un prix nettement inférieur à leurs valeurs initiales. Un véritable cauchemar pour des milliers de familles américaines. L'horizon s'annonce toujours bien sombre : les experts annoncent une deuxième vague de saisies en 2012. Parmi les 10 villes les plus touchées par les saisies immobilières, 9 sont situées en Californie. Arte propose un reportage très intéressant sur une famille menacée d’expulsion : à voir en cliquant ICI.